Nous sommes à un moment de l’histoire qui pose un défi radicalement nouveau à l’espèce humaine : pour la première fois, son prodigieux dynamisme se heurte aux limites de la biosphère. Vivre ce moment signifie que nous devons trouver les moyens d’orienter différemment l’énergie humaine. C’est un défi magnifique, mais redoutable.
Or une classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, fait obstacle au changement de cap qui s’impose. Elle ne porte aucun projet, n’est animée d’aucun idéal, ne délivre aucune parole mobilisatrice. Elle prétend que toute alternative est impossible.
Cette représentation du monde méconnaît la puissance explosive de l’injustice, sous-estime la gravité de l’empoisonnement de la biosphère, promeut l’abaissement des libertés publiques.
Pour l’auteur de ces pages incisives et bien informées, on ne résoudra pas la crise écologique sans s’attaquer à la crise sociale concomitante. Elles sont intimement liées. Ce sont aujourd’hui les riches qui menacent la planète.
Lire un article résumant la thèse du livre.
"Stupéfiante enquête d’Hervé Kempf sur cette oligarchie planétaire richissime qui ne cesse de prospérer sans conscience sur la grande misère du monde. Fort de ses reportages en Amérique latine ou en Inde, entouré de penseurs éclairés tels Hans Jonas ou James Lovelock, l’essayiste décrit comment le capitalisme, à mesure qu’il devient fou, tue la terre et les mers tout en minant subrepticement la démocratie. Contrepouvoir et prospective, autant dire du grand journalisme." - Anne Crignon - Le Nouvel Observateur, 22 février 2007.
« Percutant ! » - Jean-Luc Porquet, Le Canard Enchainé.
« Un document étayé et pressé par l’urgence (...) Kempf dit qu’il faut maintenant se partager sobrement la ressource terrestre. Que les opulents acceptent de se serrer un peu. D’en rabattre sur leurs envies. C’est le bon sens même. Le bon sens contre la morgue, l’opulence et l’égoïsme intégral des oligarchies : c’est le match du siècle. » -Bruno Frappat, La Croix.
« Il ne se contente pas de lister les mauvaises nouvelles, il nous invite à résoudre la crise par le social. » - Laure Noualhat, Libération.
« Un véritable essai d’explication globale de la crise environnementale. » - Louis-Gilles Francoeur, Le Devoir (Montréal).
« Un brulôt salvateur, un texte dont on sort quelque peu groggy. » - Alexandre Fache, L’Humanité.
« Un essai intellectuellement original et indéniablement pugnace » - Patrick Piro, Politis.
« Un livre roboratif à lire d’urgence » - L’Ecologiste.
« J’ai dévoré votre livre d’un trait et partage tout à fait votre point de vue quant à l’imbrication de la crise écologique et de la crise sociale » - Jean-Marie Pelt.
« A lire d’urgence » - Christophe Descroix, RTL.
« Un vigoureux réquisitoire contre ’l’idéologie néolibérale’, coupable de conduire la planète à sa propre destruction. Excessif ? L’auteur aligne les comparaisons troublantes comme les liens entre les excès de la société de consommation, la naissance d’une oligarchie mondiale et les changements climatiques en cours. » - Olivier Nouaillas, La Vie.
Comment les riches détruisent la planète a rencontré un grand succès en France et dans le monde entier, avec des traductions
- en anglais chez Green Books, How the rich are destroying the earth,
voir une critique en hindi : http://www.loksatta.com/index.php?o...
- traduction en espagnol : Como los ricos destruyen el planeta,
Una crítica en español http://alkimia4ever.wordpress.com/2...
Y http://www.ecopolitica.org/index.ph...
italien : Perché i mega-ricchi stanno distruggendo il pianeta,
grec : Pōs hoi plousioi katastrephoun ton planētē et http://www.oikologos.gr/index.php?o...,
- japonais par Hideki Kitamaki et Kenzi Kamio sous le titre 金持ちが地球を破壊する
- coréen : 자들이 지구를 어떻게 망쳤나
- arabe : الكوكب كيف يدمر الأثرياء ; voir par exemple http://www.ahram.org.eg/163/2010/05... ou plus largement : http://www.google.fr/#hl=fr&sou....
- portugais : Como os ricos destroem o planeta
Leia também : As desigualdades, motor da crise ecologica
- turc chez Epos : Zenginler Dünyamızı Nasıl Mahvediyor.
Une analyse en allemand par Heiner Wittmann.
Hugo Chavez, président du Venezuela, a déclaré le 16 décembre 2009, lors de l’assemblée plénière de la Conférence sur le climat de Copenhague : Je recommande le livre d’Hervé Kempf https://www.youtube.com/watch?v=hfk... (de 7’48’’ à 9’50)
• Texte traduit du discours : http://www.grioo.com/blogs/letigre/...
Translation in English of Chavez’s speech : http://www.granma.cu/ingles/2009/di...
Ecouter la conférence-débat de Hervé Kempf à Calvi, au Festival du Vent le 5 novembre 2007.
Ecouter l’entretien avec Daniel Mermet dans Là-bas si j’y suis, sur France Inter le 6 mars 2007.
Ecouter l’entretien avec Ruth Stegassy dans Terre à terre, sur France Culture le 24 février 2007.
• Couverture de l’édition de poche de 2014
• Couverture de l’édition de poche de 2009
• Couverture de l’édition originale de 2007
Voir aussi la page de Pour sauver la planète, sortez du capitalisme
Voir aussi la page de L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie